[SERIE : C’est décidé, je m’accepte et je m’aime de la tête aux pieds !]
Avant je pensais qu’il y avait des gens qui étaient sportifs et d’autres qui ne l’étaient pas. Point. Il devait y avoir une sorte de prérequis ou même une insondable liste gravée dans les étoiles pour déterminer ceux qui avaient le penchant, le talent et ceux qui en étaient privés.
Moi, bien sûr, j’étais du côté des « sans », ceux qui s’entremêlent les membres en salle de gym, ceux qui deviennent tout rouge quand ils courent 3 minutes, ceux qui de toute façon ne sont pas fait pour ça et ont leur place bien réservée sur le canapé.
Mais ça c’était avant…
Que s’est-il passé ? A vrai dire, pas mal de choses ! Flash back :
When I was a child I was a jedi
Toute petite, je me rappelle avoir « battu » pleins de garçons, même des plus vieux, à la course de vitesse. J’étais d’une timidité peu commune, mais j’ai toujours adoré être dehors et je crois que j’avais un côté casse-cou, je me souviens des bobos sur mes genoux, j’aimais bien ça. J’adorais aussi nager, j’ai grandi au bord de la mer et je passais littéralement mes étés dans l’eau, il fallait s’armer de patience pour m’en sortir. En y repensant, j’ai toujours eu beaucoup d’énergie.
Mais assez tôt, je me suis sentie grosse, gauche et grotesque. Je n’ai dès lors plus beaucoup mis le nez dehors, je me suis créé une bulle dans laquelle je n’étais qu’un esprit. Forcément ne bougeant plus beaucoup, j’ai pris du poids, d’autant que manger me rassurait et me réconfortait. La boucle était bouclée, j’étais un peu grosse comme je m’étais toujours imaginée. Sauf qu’alors je me suis vue carrément obèse et il était encore moins question d’être vue, le cercle vicieux était en place…
Je rêvais secrètement de danser, de m’essayer au yoga et à divers sports « extrêmes », de nager encore et encore, mais c’était hors de question. J’aurai d’ailleurs été bien en peine de savoir comment m’y prendre. Je me suis donc privée de bouger pendant des années.
L’adolescence
A l’adolescence le désir de vivre devenant incroyablement prégnant, excessivement fort tout à coup, je me suis peu à peu libérée de mes chaînes, mais pas trop non plus. On ne se réveille pas d’un long sommeil d’un coup d’un seul (sous peine de ne pas supporter le choc?).
Au collège et au lycée, l’éducation sportive fut souvent ma hantise et je dois bien dire que certains professeurs aussi peu aimables que psychologues n’ont pas aidé mon cas. Pourtant, quand il fallait courir ½h autour d’un stade, j’allais jusqu’au bout. Et si le défi était lancé de faire un tour de plus, alors que beaucoup abandonnaient, je faisais un tour de plus, même si j’étais la dernière à me traîner à bout de force. Je n’avais peut-être pas le corps adapté, mais j’avais l’esprit, la volonté, la détermination. D’un autre côté, j’ai aussi en cachette pleuré d’humiliation et de panique durant le cours de gym parce que les galipettes arrières me terrorisaient et qu’on m’y astreignait. Du coup, la pratique sportive était devenue pour moi un calvaire, un exercice de souffrance physique et mentale que je n’allais tout de même pas m’infliger pour le plaisir.
Voyage voyage
Il fallut donc attendre encore quelques années pour me donner à voir une image plus positive du corps en mouvement. Autour de la fac, j’ai commencé à croiser la route de pas mal de personnes sportives. Je les enviais, ils savaient utiliser leur corps d’une manière qui me fascinait, mais clairement, ça ne semblait pas à ma portée. Ma meilleure amie jouait beaucoup au volley, ma petite sœur battait des records d’athlétisme, mon petit frère se découvrait footballeur, d’autres faisaient de l’escalade ou que sais-je encore. Je suis même sortie avec un sauveteur en mer qui se levait à 6h du mat’ pour aller surfer avant de travailler. Tout ça n’était qu’une grosse énigme pour moi.
Ensuite, la vingtaine à peine passée, les voyages ont pris une grande place dans ma vie. J’y ai fais la rencontre de plein de gens exceptionnels. Trois d’entre eux pouvaient très légitimement être qualifiés de sportifs et j’ai vécu dans un petit van aménagé avec eux pendant à peu près un mois en Australie. Forcément, dès que l’occasion se présentait, tandis que je dégainais mon cher appareil photo, ils se mettaient à courir ou à jouer au ballon… au ballon ! On s’adorait [et je les aime toujours autant <3] et je crois que sur ce sujet, j’étais autant une bête curieuse pour eux qu’ils l’étaient pour moi, c’était très instructif de mon point de vue. Je ne suis pas devenue subitement sportive pour autant, mais dans un laps de temps très court, j’ai beaucoup appris d’eux à plusieurs niveaux.
A mon retour en Europe, j’ai travaillé, beaucoup, énormément, à m’en rendre à moitié folle, à prendre plus de 10 kg. Ma libération est arrivée par un nouveau voyage. Cette aventure là se fit avec mon amoureux et fut sans que je le comprenne tout de suite mon introduction au monde inconnu du sport.
Walk on the wild side
Si j’ai toujours aimé marcher, c’est en Nouvelle-Zélande qu’est née ma grande passion pour la marche. Je n’ai pas été tellement attirée par les grandes randonnées pourtant renommées de par le monde, mais j’ai développé un tel amour pour les petits sentiers que j’ai bien dû arpenter la moitié de ceux proposés par le Departement Of Conservation (DOC represent !) dans tout le pays. Et je peux vous dire que ça fait déjà un paquet de kilomètres. J’aimais me perdre dans ces paysages magnifiques, je n’y croisais que des oiseaux tous plus extraordinaires les uns que les autres. Je me sentais seule au monde, de cette solitude qui rime avec béatitude. J’aimais m’abandonner à mes pensées, je vivais des aventures merveilleuses. Ces instants de vie avaient un sacré goût de paradis. Évidemment, je suis très vite devenu accro, me sentant plus à mon aise de jour en jour, me risquant toujours plus loin, revenant parfois en courant pour ne pas inquiéter mon amoureux qui s’attendait à me voir revenir au bout de quelques heures comme nous l’avions convenu à mon départ. Bien sûr, les 10 kg accumulés plus tôt se sont envolés sans que je m’en aperçoive. Mais surtout, j’ai enfin repris contact avec mon corps.
Va y avoir du sport
Après ce voyage, il n’était plus question de mettre mon corps de côté. De retour en Europe, j’ai donc pris la folle résolution de franchir la porte d’une salle de sport. Bon, en fait d’une MJC. Mais ce ne fut pas facile, je n’avais jamais fait ça, j’ignorais totalement les codes d’un tel lieu et ça m’effrayait bien plus que mon premier voyage au bout du monde. Je m’en faisais toute une montagne, heureusement mon Screugneugneu m’encourageait vivement à me lancer. Après avoir essuyé toutes les excuses absurdes sensées m’empêcher d’aller au bout de mon envie (rendez-vous compte, je n’avais pas de vêtements de sport et la salle était à au moins 50 mètres de chez moi, naaah), je me suis finalement retrouvée dans une salle avec une jolie jeune femme souriante au physique « impeccable » et une pêche d’enfer.
C’était mon premier cours de sport et c’était de la Zumba. Autant vous dire que j’ai tout de suite fait montre d’une parfaite incompétence pour cette discipline. N’ayant jamais su me repérer dans l’espace, n’arrivant pas à mémoriser deux pas, je n’avais l’air de rien. Mais rien, ça m’allait très bien d’autant que j’ai toujours adoré danser peu importe la musique et que devenue jeune adulte, j’avais moins peur de mon regard ou de celui des autres sur mon corps.
A ce jour, je continue de suivre ce cours (pour la 4e année). Je ne brille toujours pas, mais je prends un plaisir fou. Honnêtement, venant de loin, je me suis quand même bien perfectionnée. Surtout, je n’ai plus peur des salles de sport et de me défouler. J’ai acquis des clés pour m’exprimer avec mon corps et j’ai également boosté mon énergie, il en faut beaucoup pour m’essouffler. Je me tiens différemment aussi, j’ai gagné en maintien, en muscles et développé une certaine maîtrise de mes mouvements (clin d’œil aux grands maladroits). Mais voilà, la Zumba, ce n’est qu’une heure par semaine.
Run baby run
Une heure par semaine, c’est vite devenu trop peu. L’année dernière, alors que j’avais un job assez physique, que je faisais environ ½h de vélo pour m’y rendre quotidiennement et que je cuisinais beaucoup (si si c’est physique), j’ai ressenti le besoin d’en faire davantage. Un jour, pour dépenser mon trop plein d’énergie, je me suis spontanément mise à courir lors d’une balade. Forest Gump style. J’étais persuadée que courir n’était pas pour moi (oui, les croyances ont la vie dure), mais à ma grande surprise, j’ai tout de suite adoré. Je me suis senti bien, à ma place, contente.
Je me suis un peu emballée au début, courant très vite plus d’1h30 juste pour voir si j’en étais capable. J’en étais capable, mais apparemment, il ne fallait pas y aller trop fort, alors j’ai pris la résolution de prendre mon temps. Je cours à présent très régulièrement depuis pas tout à fait un an. Je ne suis pas d’entraînement particulier, pour l’instant, je me contente de courir environ 1 heure 3 fois par semaine à différentes allures et ça me plaît.
J’avais toujours cru que courir était fatiguant, harassant, je n’avais jamais même imaginé qu’on pouvait courir à son rythme et qu’alors tout était possible. Je ne soupçonnais pas une seule seconde qu’on pouvait ressentir du plaisir ou entrer dans des états quasi méditatifs. Courir me fait un bien fou, physiquement et mentalement. J’ai d’ailleurs beaucoup d’idées quand je cours, c’est un moment très inspirant pendant lequel je gère mes questionnements, j’invente des recettes, des chansons… ou des articles. C’est aussi un moment rien qu’à moi, un moment de repos malgré l’effort, un moment où je me retrouve, simplement.
L’endurance améliore ma digestion et mon transit tout comme ma bonne humeur. Courir me permet aussi d’être dehors, au contact des éléments. Je peux sentir le vent et le soleil (quand il ose se montrer), c’est un plaisir en toute saison qui a même pour conséquence de me faire miraculeusement mieux supporter l’hiver.
What’s next
Pour conclure, ces dernières années, j’ai vraiment appris à connaître mon corps et à bouger. J’ai développé des muscles dont je ne soupçonnais pas l’existence, j’appréhende mieux mon bien-être et mal-être, j’ai gagné en assurance. Je me sens tout simplement mieux dans mon corps, il n’est plus l’étranger dont je rêvais de m’échapper, il fait entièrement partie de moi et je l’aime tel qu’il est.
Chose amusante, ces dernières années, plusieurs personnes m’ont qualifiée de sportive et ça m’a beaucoup choqué. J’ai d’abord pensé qu’on se moquait de moi, en effet, je ne faisais pas de compétition de haut niveau, j’étais toujours la même personne qui a grandi sans connaître le sport. J’ai fini par me demander quand tout avait basculé, si j’étais tombée du côté obscure de la force, ou si un miracle avait subitement ajouté mon nom dans les étoiles du sport. Mais non, peut être que j’étais simplement « devenue sportive » parce que j’aimais bouger.
J’ai alors réalisé que le terme sportif n’était pas le nom d’un super pouvoir inné ou d’une étiquette qu’on porte à vie ou pas du tout. Il suffit d’avoir envie de se remuer et de mettre son appétence en pratique à son rythme et voilà. J’ai mis des années pour finalement réaliser que ce n’est rien de bien sorcier et que ça peut être un grand bonheur !
Le flash back est terminé, nous voilà de retour au temps présent. Quelle est la prochaine étape ? Je ne sais pas. En tout cas, je suis prête à continuer.
***
Entre nous :
Et toi, c’est quoi ton rapport à ton corps en mouvement ?
Est-ce que je suis la seule à avoir grandi avec cette vision binaire à propos du sport ?
« Ecoute-moi : tu es sportive, Miss, sportive… bouhouuuuaahwoaauauua !!! »
Tu as eu peur, hein ? Mais non, il n’y a pas de raison ! 😉
Et bah ton parcours, c’est mon parcours : la petite dernière sur la banc, à attendre d’être piochée par défaut par la capitaine de l’équipe de hand ou de volley, et puis les galipettes arrières, oh la la, et la poutre, je ne t’en parle même pas… Pourtant, depuis quelques années, l’escalade, le tennis, la course, la nage, le surf (moi qui avais peur de l’eau) la marche, le squash, le yoga, le vélo et même le foot (j’ai fait partie d’une équipe féminine en Angleterre !), et bah voilà, c’est l’amour fou. Ok, on n’a peut-être pas des abdos qui remontent jusqu’aux épaules et des mollets aussi durs que de la roche, mais on aime ça, et c’est ça qui compte ! Longue vie aux Super-Sportives ! 😉
Je dois t’avouer que j’ai du mal à t’imaginer autrement que « Super-sprotive », c’est comme ça que je t’ai découverte, c’est drôle hein.
Ahhh mais j’avais oublié le moment fatidique où le capitaine d’une équipe doit choisir ses co-équipiers… <3
Pourquoi mais pourquoi au collège et lycée, pendant donc cette si formidable période qu’est l ‘adolescence avec son cortège de problemes en pagaille, on nous inflige des cours d EPS completement naze et qui ferait fuir n’importe quel adulte d’ailleurs si il devait les subir ?
Pourquoi est ce que ce sont tjrs les ados qui choisissent les autres pour former l’equipe. C’est odieux. Pourquoi le prof de sport est tjrs blasé, a hurler comme si on était coupable de je ne sais quoi, et être aussi psychologue et aimable qu’une porte de prison ?
Bref, y a de quoi mettre le feu aux salle d EPS c’est moi qui vous le dit :)))))))
Finalement, on est toutes un peu pareil…
Moi j’ai essayé d’ignorer la sportive qui sommeillait en moi un sacré moment, jusqu’à mes 28 ans peut être… et pof, un jour, j’ai fait un cours de capoeira « pour rire »… et ben voilà, maintenant c’est 4 entrainements de 2h par semaines autrement je commence à avoir les mains qui tremblent !
pareil pour la course, que j’ai commencée pour gagner en cardio pour la capoeira, mais la météo m’influence encore beaucoup, je suis pas autant à fond… 😉
… en tout cas, si on avait dit ça à la petite Agnès-bouboulle qui était toujours choisie en dernier aux cours d’EPS….
Haha !!! Pareil pour moi (dans les dernières à être choisie car pas bien performante). Plus jeune j’ai été rondouillette, puis très maigre, puis fine puis enceinte. Et maintenant, mon corps est le reflet de ce que je suis ! J’avais aussi l’impression d’être nulle en sport et maintenant je prends plaisir à en faire.
Comme quoi, peut-être qu’en vieillissant on s’accepte mieux et on s’écoute plus ??
En tout cas, j’ai 31 ans, un petit bourrelet sur le ventre et je suis bien dans mes baskets !!!
Je crois aussi qu’avec les années, on s’écoute plus, on tient moins compte du -soi-disant- regard des autres et on s’accepte plus facilement.
Moi aussi j’ai un bon bidou, on fait un club ? 😉
Ton article me plait bien Nath ! Tout comme ta nouvelle série d’articles 😉
Ça me parle bien. Je suis psychomotricienne, et pourtant, ce n’est que maintenant, à 30 ans, que j’ai le sentiment de me connecter vraiment à mon corps (mais c’est la continuité d’un long chemin aussi), et ça passe aussi (et entre autre) par le sport ! (aller nager pour moi)
*Je veux bien faire partie du club des bons bidous
**Décidemment, je laisse trop peu souvent de commentaires sur ton site 😉
Bienvenue au club !
C’est fou en fait, on est nombreux à se connecter autour des 30 ans, même toi dont c’est le boulot finalement, c’est un tournant ou dirait…
** Décidément tu fais bien de venir commenter !
Moi je suis une anti-sport depuis toujours. J’ai toujours pensé que c’était se fatiguer pour rien ^^’ Disons que je fais du sport par utilité mais pas du sport pour faire du sport (je me comprend hein)
Par exemple j’adore faire du vélo pour me déplacer d’un point A à un point B (dans ma campagne ça équivaut à 14 km aller-retour avec deux grosses côtes donc ce n’est pas souvent que j’en ai le courage…) mais faire du vélo sans autre but, ça me motive pas.
Par contre j’adore le fait de me muscler naturellement 😉 comme je suis très active, que je porte des trucs lourds etc. ça se fait tout seul et j’en suis même étonnée 🙂
A vrai dire, je suis comme toi, à la base j’aime l’exercice, me dépenser utile, pas tellement « faire du sport ». Mais en faisant de l’exercice, j’en suis tombée amoureuse et il m’en a fallut plus… c’est là que le sport intervient. C’est sûr que dans ta vie, tu es déjà bien active ! 🙂
J’ai adoré cet article, vraiment. Je me suis bien reconnue: moi j’étais une ado « enrobée », très complexée par le regard des autres. J’ai eu beaucoup de problème avec mon poids (anorexie, boulimie…) qui se sont estompés puis arrêtés en très grande partie grâce au sport. Comme toi, j’ai cru pendant longtemps que je n’étais pas sportive, que le sport c’était bon pour ne certaine catégorie de gens…Et puis maintenant, je ne pourrais pas m’en passer! J’ai découvert la course à pied il y a 1 an et demi et ça a été une vraie révélation de voir que j’aimais courir!
Merci d’avoir partagé ton expérience. Bon weekend 🙂
Merci d’avoir partagé aussi, c’est un plaisir de lire ton petit recit, je vois qu’on est nombreuses à avoir fait le même genre d’expérience !
Et bien, on étaient toutes nulles en sport ou quoi ?
Pas du tout coordonnée de mes mains, les sports avec des ballons/balles/vollants n’étaient pas vraiment pour moi … et donc j’étais choisie dans les dernières pour la formation des équipes.
Lancer de javelot / disque / poids, dans l’absolu ça m’aurait bien plu, mais je n’arrivais pas à prendre le bon angle.
Et dès qu’il fallait courir … je m’essoufflais. J’ai réussi à charmer mon médecin pour avoir des dispenses …
Quelques années plus tard, à la fac, je me suis mise à courir, pendant un été j’étais à fond, et puis j’ai arrêté. J’ai eu de nouveau une période course il y a 3 ans, j’ai même participé à un 5 km ! Depuis j’y vais tous les 6 mois, voir moins. Parce qu’il fait nuit, parce qu’il fait froid … plein d’excuses quoi. Allez quand j’aurai 30 ans je m’y mettrai 😉
La seule activité pour laquelle je suis assidue c’est le yoga, on est d’accord, du moins le hatha yoga, ce n’est pas tout le temps hyper physique, mais ça participe à prendre conscience de son corps, et surtout à être à l’écoute, ne pas forcer, ne pas en faire plus pour faire mieux que les autres …
Ca fait vraiment plaisir de se sentir moins seule dans ses problèmes de coordinations etc. :-p
Apparemment, à 30 ans, ça revient tout seul, il ne te reste plus qu’à attendre hahaha !
C’est clair que le yoga ou toute activité permettant de rentrer en contact avec son corps sont vraiment un must.
Moi, au collège, mon prof de sport a noté sur mon bulletin : « Amandine ne semble pas comprendre les règles du jeu, elle ne sait jamais quoi faire avec un ballon » et j’étais toujours celle qu’on ne voulait pas choisir !
Aujourd’hui, ça me fait bien rire 😀
Je ne suis pas encore à ton niveau pour le jogging, mais j’y vais de temps en temps et… miracle! j’y prends du plaisir ! J’aime me bouger, faire du cardio, du badminton et du yoga !
Si mon prof de sport me voyait…^^
Superbe article, je me reconnais bien dans ce que tu dis 🙂
Bonne continuation à toi sur la voie de l’épanouissement 🙂
Bonne continuation sur cette voie à toi aussi 😀
Ooo oui, si nos profs nous voyaient…
Ah, moi aussi je fais partie de celles qui ont eu un rapport douloureux avec le sport : la dernière choisie dans les équipes, la seule qui n’arrive pas à faire les 20 minutes d’endurance (LE traumatisme de ma vie…), celle qui se vautre quand il faut sauter le cheval d’arçon, celle qui manque de se noyer en nageant la brasse… Et tout ça en restant rouge pendant au bas mot 2h…
Et ça n’a pas vraiment changé, pas de déclic par chez moi, je suis toujours la fille pas sportive et un peu trop en chair…
Heureusement qu’il n’y a pas que le sport pour se mettre en mouvement, moi c’est la danse qui m’a sauvé. Grande révélation avec la danse orientale qui m’a accompagnée pendant quelques années, qui m’a fait découvrir des muscles insoupsonnés et me rendre compte compte que mon corps, même s’il n’est pas dans les normes peut être beau en mouvement 🙂
La danse, c’est du sport aussi :-p
Pour moi, la révélation, ça a aussi vraiment été le corps en mouvement 🙂
D’ailleurs j’ai fait un peu de danse orientale et j’ai beaucoup aimer découvrir mon corps dans ces ondulations !
Merci pour ton témoignage 🙂
Comme je me suis retrouvée dans ton passé ! J’etais bonne eleve a l’ecole, sauf que le sport etait mon pire cauchemar. Deja, en primaire, j’essayais de feindre les maux de ventre pour eviter la course a pied (je devais etre mauvaise actrice car ca ne marchait jamais, ni avec ma mere, ni avec le doc, ni avec l’instit… et je finissais a trottiner avec le « gros de la classe », en ravalant mes larmes). La gym au college etait un enfer : j’etais NULLE. Une roulade arriere et tout le monde pouffait, je demandais a la prof de passer en dernier (lorsque les autres partait se changer) pour eviter l’humiliation. En terminale, ma prof de sport a meme convoque mes parents tellement j’etais mauvaise. S’ajoute a ca une prof de sport qui etait persuadee que j’etais mauvaise eleve (je n’avais pas de coordination, elle m’en faisait la demonstration devant les autres) alors que j’etais dans les meilleurs… elle pensait que j’etais rellement debile, retardee, que j’allais redoubler. Le sport a l’ecole a ete ma plus grande souffrance. Et puis a la fac, comme ca, je me suis mise a courir et frequenter un club de sport. Ca m’a plu et j’ai decouvert que si je me tenais a distance des sports co et de la gym, et bien je n’etais pas si nulle que ca. Aujourd’hui je fais du sport tous les jours et tout le monde me considere comme une sportive. J’ai participe a des courses, en general les gens sont plutot impressiones par mes prouesses. Le sport m’a permis de prendre confiance en moi et d’aimer mon corps. C’est ma revanche sur toutes ces annees. 🙂
Ooo j’adore ton histoire et je suis contente que tu viennes commenter ici ! 🙂
Je crois que moi aussi je suis plus à l’aise en dehors des sports co et de la gym :-p
Bravo pour ta revanche 😉
Comme je me retrouve dans certaines parties de ton récit qui fait beaucoup réfléchir! Merci de partager ton expérience avec nous. De la primaire au lycée, j’ai redouté chaque cours d’EPS… Je me croyais «nulle en sport» surtout lorsqu’on faisait des sports d’équipe et que je savais bien que je ferais partie des derniers choisis… En seconde, notre gymnase était en dehors du lycée: une fois par semaine il fallait donc prendre un car scolaire du lycée au gymnase juste après le déjeuner. Comme je rentrais déjeuner chez moi, je me débrouillais souvent pour arriver en retard au lycée… ainsi, je loupais le car et après être passée par le bureau du CPE pour lui expliquer que je m’étais endormie chez moi, je filais en salle de permanence, soulagée d’échapper au calvaire du sport… Bien évidemment je ne pouvais pas faire appel à ce stratagème toutes les semaines, surtout qu’au bout d’un moment le CPE a commencé à s’inquiéter pour ma santé! « C’est pas normal à ton âge de t’endormir en pleine journée! » Comme j’étais une élève sérieuse et travailleuse, personne ne remettait en question mes excuses… du coup, j’ai commencé à culpabiliser et je me suis résolue à ne plus arriver en retard… J’ai tout de même fini par me mettre au sport de mon propre gré lors d’une période physiquement et mentalement stressante, lorsque j’ai réalisé que le sport était aussi important que manger et dormir… et que ça faisait un bien fou. J’ai commencé par la natation, puis j’ai enchainé avec le karaté et finalement je me suis mise à courir… Depuis 3 ans je participe à une course de 10km par an et je trouve que cela me motive davantage à faire du sport régulièrement car chaque année j’essaie de courir plus vite que l’année précédente: j’ai toujours horreur des sports d’équipe parce que je ne suis vraiment pas douée avec les ballons et je n’aime pas le côté compétitif, mais j’adore me mesurer à moi-même, c’est un véritable moteur. Cette année, j’espère courir 10km en moins de 50 minutes alors qu’il y a quelques années, je m’en serais cru incapable!
Bravo pour ta belle évolution Nathasha !
L’astuce d’arriver en retard pour louper le bus, c’est pas mal… ça montre bien combien ce moment était anxiogène pour toi. Mais c’est fou cette image de l’activité physique renvoyée par l’école.
Comme toi, la compétition ne m’attire pas, mais se mesurer à soi-même, s’améliorer pour soi, c’est quelque chose qui me parle.
Merci beaucoup pour ton commentaire :-p
Je profite de mon petit message pour te féliciter pour ton nouveau look et te souhaiter beaucoup de succès dans tes (nombreux!) projets! Je m’arrête très souvent sur tes pages et même si je ne laisse pas de commentaires (oh la vilaine!!) j’apprécie toujours ce que j’y lis! Inspiration! l’Inspiration, c’est exactement ça! Lorsque j’ai une question qui me taraude, je pars courir! C’est en courant que j’ai eu mes meilleures idées! On se met dans un tel état Zen que tout arrive!! Le sport, c’est tout bénef, je suis convaincue que l’énergie dont nous avons besoin pour caser les 10 millions de trucs qu’on veut faire dans la journée est décuplée avec le sport!. Je nage ou fais du yoga tous les matins, je cours entre midi et 2 et le week-end et le seul jour où je suis raplapla c’est celui où je ne fais rien! Pourtant, malgré toutes ces heures passées à bouger…je ne suis toujours pas d’accord avec mon corps! S’accepter… quel deal! Allez zou, j’m’en vais lire ton autre article!!
Merci pour mon nouveau look 🙂
Ah toi aussi tu as plein d’idées quand tu cours, je ne me doutais pas le moins du monde de cet aspect avant de l’expérimenter par moi-même. Je crois aussi que le sport nous aide à faire plus même si on a l’impression de « perdre » du temps à en faire, pour moi, c’est reculer pour mieux sauter.
Merci pour ton commentaire !
Quel site agréable à parcourir ! Merci beaucoup, c’est un véritable plaisir ! Je m’empresse de le placer dans mes favoris.
Bonne journée et à très bientôt
Merci Véro et bienvenue ici !
Bonsoir!
Ça fait plusieurs fois que je fais un tour sur ton blog, et j’adore ta philosophie 🙂
Alors forcément moi qui me suis toujours dit « La course à pied?? Ces termes ne sont pas intégrés à mon disque dur… », qui fais du vélo, un peu de natation, de la fitness… Arès avoir lu ton article, je me suis rendue compte qu’en fait je n’avais jamais essayé de courir!
J’ai donc pris mes baskets, mon lecteur MP3, et je me suis lancée…
Résultat: hier matin c’était la troisième fois que je courais, et je suis déjà passée de 20 minutes à une heure! (en faisant des pauses évidemment…!)
Bref, tout ça pour te dire MERCI, j’ai découvert une nouvelle façon d’allier activité physique et plaisir d’être à l’air libre!
Je continue à lire tes articles avec attention, et te souhaite plein de bonnes choses 🙂
Wooow c’est génial ça ! C’est vrai que courir permet de se bouger tout en étant à l’air libre, j’apprécie tellement ça, je suis ravie d’avoir participé à te donner envie d’essayer 😉
Merci beaucoup pour ton témoignage, tu repasseras nous dire où tu en es dans quelques temps ? 😉
Merci merci pour ce partage ! tout ça me parle beaucoup beaucoup… les étapes, l’enfance,l’adolescence, les voyages, le plaisir et puis patatra, un jour on s’oublie pour une raison ou pour une autre ou pour 15 000… le boulot, les gosses, les kilos, tout ! et puis un jour on ose, comme toi, j’ai beaucoup marché, puis j’ai goûté à la zumba avec une super prof très motivante et pêchue…. Et puis repatrata, déménagement, isolement, pas envie de bouger toute seule, pour aller où ? Et là, ton article… C’est vrai que souvent je me dis que d’aller faire qques km en marchant ou en courant me ferait du bien. Je vais peut être m’y remettre, à suivre !
Ahhh le plus dur est de faire le pas de recommencer… ensuite, hop, ça glisse tout seul ! Tiens nous au courant 😉
on process… ;-p
Grosse découverte pour moi aujourd’hui…..
En fouinant sur des blogs de mariage, je tombe sur le tien et je craque…
Tout est déjà dit dans les commentaires sur ton article et moi aussi je m y retrouve. Le sport à l école a toujours fait baisser ma moyenne de notes, j étais persuadée d être nulle et peu encouragée par mes professeurs qui voyait le fait de bloquer devant un saut en hauteur une sorte de mauvaise volonté ( franchement sauter tout en se retournant tout en se jetant en arrière c est compliqué quand même !!!!).
Bref , libérée aussi par la course a pied je me suis défiée pour mes 30 ans a faire un marathon et je l ai fait , a mon rythme, j y ai découvert la sensation de dépassement de moi, c était intense et enivrant.
En ce qui concerne l alimentation je suis une vegan débutant ou plutôt une vegan par phases ( je m y met quelques semaines et petit a petit je lâche prise et je reprend d anciennes habitudes…), en tout cas ton blog me donne envie de m y replonger !!!
merci encore et bonne continuation
Ravie que mon blog te donne envie de te replonger dans le veganisme. D’ailleurs, pour ne pas faire le yoyo, je te conseille de ne pas trop t’en demander. Tu craques ? Pas grave, tu continues en incluant de nouvelles habitudes petits à petits sans te mettre trop de pression.
En tout cas, merci pour ton message et bienvenue dans le club des coureuses qui s’y mettent à la 30aine !
Salut! J’ai laissé un petit mot le 2 mars en t’expliquant que j’avais timidement commencé à courir…
Comme promis, je reviens te donner des nouvelles.
Ben écoute, 3 mois plus tard, 3 kilos en moins, je cours toujours!!! 😀 Et j’adore ça… Je me suis refait une garde robe chez Décathlon (au passage, si vous avez peur de vous démotiver, achetez-vous des beaux vêtements et des jolies baskets, ça aide grandement!).
Je m’arrange pour courir minimum une fois par semaine (d’ailleurs ces semaines là je suis plutôt ronchon, je pense que c’est parce que ça me manque). Mais en général c’est 2 à 3 fois dans la semaine.
Et quel bonheur de courir! Dans la forêt surtout, les foulées sont bien moins « violentes » que sur le goudron (moi qui ai des problèmes de dos, je sens la différence de sol), on sent cette odeur si particulière, et on entend les oiseaux… mais pas que! J’ai déjà croisé des lièvres, des chevreuils, un écureuil, des chouettes/hiboux, des buses… Bref, tu l’as compris, je suis super contente de m’être lancée! 😀
Allez, je m’arrête là, j’espère que d’autres se sont mises au sport grâce à ton témoignage.
A plus!
Camille
Olalaaa, c’est magnifique, merci d’être revenu nous raconter !
Je comprends chacun de tes mots. Je partage ce bonheur d’être au milieu des arbres et d’avoir la chance de croiser plein d’animaux, le manque quand on n’a pas l’occasion de courir autant qu’on voudrait… rien qu’à te lire, j’ai envie d’y aller, d’ailleurs, j’y vais juste après. Je penserai à toi.
Bravo à toi de t’être motivée et encore merci merci pour ce génial témoignage ! Rdv dans quelques mois, ok ? 😉
Je me souvenais avoir lu cet article… Je viens le relire pour me motiver! Comme si j’avais besoin de réaliser que c’est bien possible! Ce sport à l’école, ce doit être une histoire d’état d’esprit 😉 Moi aussi souvenir de super courses à l’école primaire et puis l’enfer du collège (avec les interclasses: foot, hand, volley, basket: j’ai une anecdote anti-sport pour chaque: genou plâtré/ doigt coincé dans la porte du gymnase/ tellement nulle que le prof avait concédé de me mettre arbitre/ doigt retourné à la 2ème minute sur le terrain!! Si si, véridique!). Sinon jusqu’à mes 18 ans, je dansais, beaucoup, énormément, passionnément… Et puis d’un coup plus rien… J’ai bien fait des tentatives, mais je n’arrive plus à m’ancrer dans un sport comme je l’avais été dans la danse, tu sais quand finalement c’est le sport qui te porte… Mais là, 33 ans, 2 enfants, il est temps. Juste je tourne encore un peu autour du pot 😉
Merci pour cet article motivant!!
J’espère que tu trouveras un sport qui te porte (l’expression est bien vue !). Tu aimais tant la danse, pourquoi ne pas passer par ça ? 😉
Ta bulle était ton monde,désormais le monde est ta bulle!!! Sista FIERE
Hahaha, c’est hyper chou et en même temps, tu me fais tellement rire ! Sista fière aussi !
Bonjour;
j’ai lu votre article avec un intérêt immense car il raconte à quelque détail près mon parcours, je suis moi aussi devenue sportive lors de ces 3 dernières années, alors que j’en ai jamais pratiqué de ma vie. aujourd’hui, je ne peux plus m’en passer, c’est peut être triste à dire mais le sport est devenu mon plus fidèle ami.
Continuez à aimer le sport, il vous le rend si bien 🙂
Merci pour ce message, je comprends tellement, continuez également 😀
Je suis carrément choquée de ton récit ! Je me reconnais à 110%! J’ai grandi jusqu’à l’âge de 12ans sur une île, j’étais une vrais casse cou, mes genoux de femme de 29 ans (dans 2 semaines) et maman de 2 enfants.. en témoigne ^_^ Je grimpait aux arbres, je restais des journées à la plage dans l’eau. J’étais une flèche dans l’eau, les garçons étaient ridicules face à moi. A 12 ans arrivé en métropole et assez rapidement, en grandissant, j’ai commencé à ne pas forcément aimer et accepter mon corps. Alors qu’aujourd’hui en revoyant les photos je me trouve « canon » (lol). Et puis à 21 ans je suis tombé enceinte de ma fille, en couple depuis mes 14ans avec le papa (hyper sportif) danseur. Je me sentais dévalorisé alors que ça allait encore. 3 ans après séparation, après plusieurs cassures et tromperie du don Juan. J’ai décidé de le quitter, il m’a trompée et je ne l’aimais plus ! Il n’était jamais là pour moi. Mais BREF j’ai grâce à ça ! CHANGE DE VIE. J’ai trouvé le vrai Amour dans un nouveau travail, lui est arrivé dans la boîte un mois pile après moi. 9 mois après on était en couple, et 7 mois après enceinte ! Oui enceinte. Aujourd’hui notre fils a 2 ans, nous avons acheté une maison, il m’a demandé en mariage pour mon anniversaire l’année dernière et on se marie en 2018. Pour revenir à mes montons LE SPORT ! J’ai les mêmes pensées que toi et les mêmes réflexions sur le sport. Pour moi c’est soit on est sport (if) ou canapé (if). Et avec le temps le sport est devenu mon ennemi. Je me force a chaque fois et pourtant j’arrive au même résultat… Un résultat correct. Mais ça ne dure qu’une séance.. tous les 3 mois 🙁 Je rêve d’aimer le sport, je rêve d’un corps sain avec une nourriture saine. Mais au contraire, à peine y penser je me bat contre ma flemme et mon corps qui souffre au moindre effort. Et pourtant je sais que j’ai les gêne d’un grand sportif, mon père a 69 ans et marche en plein air (Cahors) durant des heures. Mais la douleur et mon esprit ne me donne pas envie, je n’ai aucune motivation et détermination. Par contre j’aime la vie, la bonne nourriture ^_^ et faire plaisir à ma famille (la bouffe c’est sacré lol.) Je pensais que le fait de me marier allait me motiver. RIEN, je suis dans mon canapé. J’aimerai être une sportive mais je n’ai pas encore eu LE declique tant espéré… Je deviens celle que j’imaginais.. Et me dit aussi tout comme toi « si tu continues tu deviendras obèse ! » Et j’ai peur. Voilà pour la petite histoire. J. D Paris
Bonjour
C’est cool que ça ait marché sur vous toutes. Je pense qu’il y a 2 catégories celles benies pour qui ça marche et d’autres maudites pour qui ça marche pas. Et j’en fais partie je pratique régulièrement depuis septembre 4h semaine et ça n’a aucun effet sur le corps ou le moral c’est même de plus en plus difficile de m’y mettre tellement je n’aime pas ça. Ça ne me détend pas non plus au contraire même. Donc je pense vraiment que le sport n’est pas fait pour tout le monde mais pas le choix que d’en faire.
Peut-être que l’activité ne vous correspond pas. Pour ma part, je n’aime pas tous les sports (qui aime tout ?), j’ai trouvé ce qui me fait du bien et que j’arrive à intégrer dans mon quotidien, j’espère que vous trouverez également !
Incroyable! Je connais bien votre belle cuisine végétale depuis plusieurs années et j ai moi même une passion pour celle-ci qui est devenue finalement un métier…Là je cherchais des témoignages sur l »envie de pratiquer le sport et les barrières personnelles qu on y oppose et je tombe sur votre article parfait pour moi! Merci Melle Pigut, vous me redonnez confiance en ma capacité physique oubliée depuis qques temps déjà et bravo à vous d avoir accepté d être désormais désignée Sportive ! !
Merci pour ce témoignage Valérie ! Je suis ravie que cet article vous aide à prendre confiance.